Départ de la randonnée sous la pluie puis dans le brouillard. Des paysages magnifiques et un bivouac avec vue sur les lacs. Une petite ascension jusqu’au col le deuxième jour pour découvrir des paysages et des lacs lunaires. Et enfin, crêpes et chocolat chaud au refuge sur le chemin du retour.

Trek en compagnie de Marine du blog de randonnée marine-explore.

Un soir d’été dans le massif de la Chartreuse, pour des photos des couvertures de la marque Voited.

Premières ambiances automnales. Nuit glaciale, brume et pain-perdu.

Premières neige dans les montagnes de l’Oisans. On avait prévu de dormir sous la tente. Mais les rafales de vent ont cassé un arceau qui a déchiré la toile de tente en plein milieu de la nuit. Heureusement, on avait repéré un petit abri en pierre un peu plus loin. Il nous a abrité pour le reste de la nuit. Avec le vent qui s’infiltre entre les pierres et le claquement incessant de la porte en métal.

  

Un weekend de novembre. Le massif du Vercors, une cabane dans la neige et des copains.

      

Un road trip automnal dans le massif du Queyras.
Des randonnées, des lacs de montagne, la frontière italienne, des mélèzes oranges, un fourgon embourbé.

J’ai toujours du mal à m’habituer à l’hiver. Le froid. Les vêtements qu’on empile. La neige qui rend plus difficile l’accès à certains lieux. Les jours qui raccourcissent. La fatigue. J’hiberne toujours un peu à cette période. Le temps pour moi de faire mon deuil de l’été.

J’oscille entre un sentiment de culpabilité de ne pas profiter au maximum de ces paysages hivernaux, et le besoin de laisser à mon corps un peu de repos.

Mon rythme d’exploration est bien moins soutenu que pendant la période estivale pendant laquelle j’accumule les weekends road trips, randonnées et aventures en tout genre, mais ce n’est pas pour autant que ne sors plus du tout de chez moi les weekends. Et j’en profite aussi, pour me balader dans les massifs montagneux au pied de chez moi. Ceux que je délaisse un peu l’été pour aller un peu plus loin. Je découvre et redécouvre. A deux pas de chez moi. 

A quelques heures de voiture de chez moi, il existe des lieux tellement facile d’accès et pourtant si dépaysants. C’est le cas de ces lacs, que j’ai découvert pour la première fois en hiver sous une couche de neige si épaisse qu’il était difficile de les deviner. Depuis, je prends plaisir à les découvrir à différentes saisons.